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ISO 1279:1996
Huiles essentielles -- Détermination de l'indice de carbonyle -- Méthodes potentiométriques au chlorure d'hydroxylammonium
SKU: iso_005880_124548
Publié par ISO
Année de publication 1996
3 Edition
5 pages
détails du produit
La présente Norme internationale prescrit deux méthodes pour la détermination potentiométrique de l'indice de carbonyle des huiles essentielles dont les composés carbonylés sont, soit des aldéhydes, soit des cétones. La méthode I (voir l'article 5), est basée sur l'oximation par le chlorure d'hydroxylammonium à froid. Elle est applicable aux huiles essentielles dont les constituants principaux sont des aldéhydes et des cétones facilement oximables, à l'exception du citronellal qui nécessite d'opérer à basse température pour éviter des phénomènes de cyclisation et d'acétalisation.
NOTE 1 Dans le cas du citronellal, il convient d'utiliser la méthode à l'hydroxylamine libre décrite dans l'ISO 1271.
NOTE 2 Les huiles essentielles concernées sont par exemple le lemongrass, les hespéridés, la rue. La méthode II (voir l'article 6), est basée sur l'oximation par le chlorure d'hydroxylammonium à chaud. Elle est applicable aux huiles essentielles dont les constituants principaux sont des cétones en général difficilement oximables.
NOTE 3 Les huiles essentielles concernées sont par exemple le vétiver, la sauge officinale, l'armoise blanche, qui contiennent des 259 méthylcétones difficilement oximables. Les Normes internationales relatives aux huiles essentielles prescriront la méthode à utiliser: s'il s'agit de la méthode à l'hydroxylamine libre décrite dans l'ISO 1271 ou d'une autre méthode.
NOTE 1 Dans le cas du citronellal, il convient d'utiliser la méthode à l'hydroxylamine libre décrite dans l'ISO 1271.
NOTE 2 Les huiles essentielles concernées sont par exemple le lemongrass, les hespéridés, la rue. La méthode II (voir l'article 6), est basée sur l'oximation par le chlorure d'hydroxylammonium à chaud. Elle est applicable aux huiles essentielles dont les constituants principaux sont des cétones en général difficilement oximables.
NOTE 3 Les huiles essentielles concernées sont par exemple le vétiver, la sauge officinale, l'armoise blanche, qui contiennent des 259 méthylcétones difficilement oximables. Les Normes internationales relatives aux huiles essentielles prescriront la méthode à utiliser: s'il s'agit de la méthode à l'hydroxylamine libre décrite dans l'ISO 1271 ou d'une autre méthode.